Vous avez peut-être repéré un ou deux gros mots dans le titre de cet article. Que les termes « InMail » et « page d’atterrissage » vous parlent ou non, nous allons vous expliquer une méthode à tester qui pourrait bien bouleverser votre stratégie e-mailing.

La puissance de l’InMail

Qu’est-ce qu’un InMail ? Il s’agit de l’une des façons d’entrer en contact avec quelqu’un sur le réseau social professionnel LinkedIn, et ce sans avoir besoin de connaître l’adresse e-mail de ladite personne. C’est un service payant mais qui, bien utilisé, peut être vraiment rentable.

Les InMails LinkedIn ont un taux d’ouverture 2 à 3 fois plus élevé que les e-mails classiques.

Si vous choisissez d’entrer en contact avec plusieurs personnes via InMail, un score, vous sera attribué par LinkedIn. De quoi mesurer votre approche et la corriger si besoin.

L’InMail et la page d’atterrissage

Une page d’atterrissage, ou landing page en anglais, est un page internet sur laquelle votre prospect est redirigé lorsqu’il a cliqué sur votre annonce. Par exemple sur une publicité Facebook, dans votre newsletter ou encore… dans un InMail ! C’est une page web unique qui doit répondre directement à la requête du client avec une action précise (passage à l’achat, inscription à la newsletter, participation à un concours, etc.).

Il s’agit donc d’intégrer un lien vers une page d’atterrissage dans vos InMails, puisque leur taux d’ouverture est très élevé. Veillez, toutefois, à ce que la landing page en question soit parfaitement optimisée pour la conversion. Ne la négligez pas car, si vous faites ce travail correctement, les résultats peuvent être bluffants. Ce travail de prospection par mail sera en tout cas bien plus efficace que si le contenu avait atterri dans la boîte de messagerie Gmail, Outlook ou Yahoo de votre destinataire.

Alors, motivé(e)s pour tester cette méthode de prospection ?